mercredi

Libidineuse

J'ai posé ma main sur la bosse de ton jean en plantant mon regard dans le tien.
Dans ma paume, j'ai senti ta queue tressauter, surpris par le contact sans doute.
Tu t'es laissé faire.
J'ai continué.

Bien au chaud au creux de ma paume, j'ai massé, pétri délicatement ta bite encore endormie.
Je l'ai senti s'éveiller, s'impatienter d'être à l'étroit.
Je t'ai laissé me regarder l'apprivoiser.

J'aime quand tu remplis ma main de la sorte.
Tu n'as pas idée comme cela m'excite !
Tu n'as pas idée comme mon périnée convulse, mon ventre se creuse, ma chatte se pâme devant tant de promesse.
Tu n'as pas idée comme mon imagination, impatiente, me renvoit des images de stupre aussi animales qu'indécentes.

Prise en étau entre mes reins affamés et ma cérébralité à fleur de peau, je palpe, je presse puis n'y tenant plus, je déboutonne, débraguette pour y glisser ma bouche, à peine libérée.
Mon con s'émeut, se gorge, s'enduit... quand mes lèvres redessinent les contours de ta bite tendue.
Sous ma langue, ta queue palpite.
Je lèche, je lappe, je suce, j'aspire, je tête.
Tu râles, frémis, paupières closes, une main dans mes cheveux !

Tandis que je m'active sur ta bite bien raide, mes sens pris en otage de mes envies de stupre, je t'imagine déjà glisser derrière moi. Je gémis sous la violence du flash, la bouche pleine de ton désir pour moi.
Tes doigts se crispent dans mes cheveux, contre ma nuque.
Je ralentis, malaxent tes bourses, reviens...

Je n'y tiens plus !
Je te quitte ... de la bouche mais pas des yeux.
Devant toi, je retrousse ma jupe sur mes hanches.
Je fais glisser la dentelle noire qui crisse sur la soie de mes bas.
Indécente, je glisse une main entre mes cuisses.
Je feule, les yeux plissés, de souiller mes doigts de la sorte.
Tu m'observes, queue à la main, que tu branles doucement.
Ce nouvel angle de vue m'électrise... Je n'y tiens plus !

Je me retourne, m'agenouille sur le canapé !
Une éternité semble passer... j'ose un appel.
"Vieeeennnns !"
Avant d'ajouter dans un souffle, une supplique implorante

"Baise moi !"

6 commentaires:

  1. Vous n'avez pas idée comme votre récit m'électrise.... ;-)

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  2. Difficile de rester concentré après de telles lectures ;-) Ce qui est d'autant plus troublant, c'est que j'ai toujours l'impression d'être "dans" tes récits....

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  3. Diantre, baisez-là mon brave ! Son entrecuisse regorge d'envie pour votre membre turgescent, enfourchez-là et faites-là crier jusqu'aux confins du royaume !

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    1. Croyez bien qu'il ne s'est pas fait prier davantage ! ;)

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Oh oui, susurrez moi...