mardi

Erotisez-moi !

Eh bien, deux articles en un jour, il va pleuvoir :) (ils annoncent pas les grenouilles mais une sale journée quand même; cela doit être ca !) !

Tout à mon précédent article... cela m'a donné envie de jouer ... avec vous, si vous le voulez bien !

Bien qu'inconstante dans mes publications, il me semble que vous me connaissez suffisamment au travers de mes mots pour savoir ce qui fait mouiller ma petite culotte...

Aussi, je vous mets TOUS au défi ! Et pour que ce défi prenne corps, il va vous falloir faire un effort :).

Quel est-il ?
Simple !

Je vous propose de me soumettre une photo (érotique ou non, de vous ou glanée sur le net mais toujours correcte) à charge pour moi de l'érotiser de mes mots.

Toutefois, cette proposition ne vaut que si je reçois 5 photos, pas une de moins !

Comment faire ?
Contactez moi via le formulaire de contact sur votre droite ou laissez votre adresse mail en commentaire modéré (précisez si je peux publier ou non celui-ci) et je vous répondrai...
Vous pourrez alors m'envoyer votre cliché !

J'érotiserai les clichés dans leur ordre de réception... 

Alors ?
Vous jouez ??
:)


Mais alors... pas FAN du tout !


Voici la page du nouveau calendrier des Dieux du Stade 2016  qui fait le buzz !

Le "ce n'est pas un sexe mais une trompe d'éléphant" de Bachelot a éveillé ma curiosité.

Et ma première réflexion a été... c'est quoi cette affreuse photo ?!
Parce que sans déc, elle est moche  (la photo hein!)
Quoique l'appendice, l'est pas dans son meilleur jour non plus !

Voici le cliché type qui ne m'inspire absolument pas (même pas un p'tit texte sur la pipe tiens !) ... Outre le côté suggestif totalement absent, ne me dites pas que ca fait mouiller les petites culottes une photo comme ca ?!

Où alors, je viens d'une autre planête... Possible aussi :)

jeudi

Rendez-vous d'affaire



En main, je n’avais que sa carte de visite « Patrick Maurey ». Pour l’occasion, j’avais enfilé mon tailleur gris souris, jupe droite au dessus du genou. Classique, sobre, il n’en restait pas moins sexy en fonction des attitudes que j’adoptais.
Chemisier blanc classique lui aussi… j’ai relevé en chignon mes cheveux longs.

Il fallait que j’obtienne ce contrat et je comptais bien l’avoir, j’avais donc accepté ce rdv tardif même si cela ne m’arrangeait pas.
A l’accueil, on me demanda de patienter jusqu’à ce qu’une collaboratrice ne me fasse entrer dans son bureau.

Assis face à son ordinateur, je l’ai vu se lever pour aller à ma rencontre. Elégant et le sourire charmeur, il m’invita à m’asseoir après m’avoir salué.
Je croisais les jambes en les glissant l’une contre l’autre sans m’apercevoir qu’il me regardait du coin de l’œil.

Les négociations s’avéraient difficiles, chacun argumentant sa position pour faire valoir ses intérêts mais j’avais plus d’un tour dans mon sac.
Je lui avais confié un volumineux dossier sur lequel je comptais pour retourner la situation à mon avantage.

Je marquais des points sur ce dossier au point mort depuis plusieurs mois maintenant et c’est quelque peu contrarié qu’il me retendit le dossier au dessus de son bureau.

J’eu la main faible sur ce coup là et une bonne partie du dossier s’éparpilla à mes pieds dans un grand « Aiie » de désappointement ! Il se leva précipitamment, fit le tour de son bureau pour s’agenouiller à mes pieds, tandis que je tentais de dompter les feuilles qui tentaient encore de s’échapper de la chemise, moins rapide que lui.

Je glissais mes jambes de nouveau l’une contre l’autre, faisant crisser la soie lentement, pour légèrement les écarter et m’asseoir au bord du siège, attendant qu’il lève le regard.
Je n’eus pas à attendre longtemps avant de le surprendre, quelques feuilles à la main, en train de lorgner entre mes cuisses.

Son trouble était visible tout autant que son intérêt… Je souris… je marquais des points !
Feignant de ramasser de part et d’autre du fauteuil les feuilles les plus proches, je jouais d u bassin pour ouvrir plus ou moins mes cuisses selon l’angle de vue. C’est que je me devais d’être convaincante ! Il me fallait cette rallonge !

Son mouvement s’était fait moins rapide et son visage s’était tendu, tandis que ses yeux cherchaient de plus en plus à se glisser dans mon entre cuisse. La lueur qui brulait dans ses yeux était si troublante que j’eu chaud au creux des reins en l’imaginant glisser une main sur ma cheville, caresser ma jambe, glisser sous ma jupe pour découvrir mon con humide qui doucement s’éveillait, affamé !

Peut-être aurait-il suivi sa main de près, et aidé de son acolyte, aurait-il, une fois mes genoux passés, écarté mes cuisses d’un geste décidé pour aller fourrer son visage sur ma chatte odorante.

J’inspirai profondément, cherchant l’air qui oxygénerait mon esprit troublé, fermant les yeux, prise à mon propre piège par ce regard troublé et troublant et je me ressaisi rapidement décidant à mon tour de me mettre de m’accroupir, un genou vers le sol, pour ramasser les volets épars.

Le téléphone retentit à cet instant.

« Excusez-moi » dit-il en se redressant  devant moi. Je levai les yeux de la moquette pour voir le corps en mouvement se relever. Il aurait pu faire le tour du bureau et s’asseoir le temps de son appel, il aurait pu se retourner pour ne m’avoir pas dans son champs de vision quitte à me présenter ses fesses, mais il resta face à moi, appuyé contre son bureau, de telle sorte que mes yeux n’eurent pas besoin de se lever beaucoup pour tomber sur la bosse gonflée de son pantalon.

C’est ce que j’aimais dans les costumes… leur tissu plus ou moins léger qui ne laissait passer aucune imperfection… Je fis mine de ne rien voir et continuais ca et là à rassembler les feuilles éparpillées.

Je changeais juste de position… posant pour plus d’aisance mes deux genoux au sol, je cambrais les reins en tendant le bras vers les feuilles les plus éloignées, un pied négligemment relevé,  en laissant le soin à ma jupe fendue de lui dévoiler certains de mes atouts cachés.

Quel homme n’a jamais rêvé d’avoir une femme à ses pieds ?
Toutes les choses ont une fin, et mes feuilles rassemblées, il fallait bien me relever !

Ramenant mon corps sur mes talons, pour m’apprêter à me relever, je levais lentement les yeux.

La déformation du tissu était impressionnante mais au-delà son regard fixé sur moi était terriblement troublant. Je n’entendais rien de sa conversation, hypnotisée par ce regard, chargé de désir qu’il posait sur moi. Je n’eu aucune difficultés à lire dans ses yeux qu’il me baiserait sans hésiter, si l’envie me prenait de lui céder.

Sans un mot, il me fit comprendre que j’avais là les cartes en mains.

Souriant, je posais mes feuilles sur le siège. Maintenant à genoux, il me restait deux solutions.
Refuser son invitation ou prendre du bon temps et qui sait… obtenir ce que je venais chercher !

Mes mains s’agrippèrent à sa ceinture, libérant lentement la boucle, avant de s’attaquer au bouton.  Si j’acceptais la partie de bon temps, il était hors de question qu’il croit que j’étais aux abois. Je restais maîtresse du jeu !

Sa conversation téléphonique semblait loin de pouvoir se terminer et je souris à l’idée qu’il se trouvait coincé de la sorte !
Plongeant mon regard dans le sien, le sourire mutin aux lèvres, la moue joueuse qui en disait long, je descendis sa braguette pour plonger ma main dans son pantalon, libérant la belle queue qui, quelques minutes auparavant, déformait encore le pantalon de toile !

Son visage se crispa au contact de mes doigts tandis que sa poitrine chercha l’air à son tour !
Je le quittais un instant du regard pour découvrir sa queue tendue, nerveuse, palpitante.
D’une main délicate, je libérais ses couilles prenant soin de les malaxer, bien au chaud dans ma paume !
De mon autre main, j’entamai un lent va et vient sur la hampe dressée, pressant doucement , jaugeant la vigueur. Son gland turgescent perlait déjà d’un désir contenu qu’il tentait de canaliser tant bien que mal.

Sa bite me donnait envie ! Cherchant son regard, je le vis crispé, tendu, le téléphone à l’oreille mais l’esprit si proche de sa ceinture. Presqu’imperceptible, d’un mouvement du bassin, il m’invitait à agir, presqu’implorant.

Le gratifiant d’un sourire, je l’abandonnais à sa discussion Maintenant sa queue face à moi, d’une poigne douce et ferme, je glissais ma langue sur son gland turgescent. Tout son corps trembla au contact de ma langue, qui doucement appuyée, léchait délicatement le sillon d’où s’écoulait les prémisses du plaisir.

N’y tenant plus, il se pressait à mes lèvres…voulant aller plus loin, mais les tenants ostensiblement fermées, je relevais les yeux pour lui indiquer qu’il n’était pas en position de demander quoique ce soit !

Son regard avait changé ! Oh, il ne me baisait plus non… Il n’en était plus à m’outrager jupe relevé sur son bureau ou, jambes écartées, penchée, en train de m’empaler sauvagement en levrette. Implorant, il me suppliait silencieusement de cesser de jouer avec lui, de le laisser baiser ma bouche…si je le voulais bien !

Le quittant une nouvelle fois du regard, je posais mes lèvres sur sa queue qui coulissa lentement  entre mes lèvres au gré de mon envie, tandis que ma langue en redessinait les contours. Entre mes cuisses, mes lèvres se gorgeaient à leur tour de mon désir contenu, humidifiant mon string d’indécente façon.

Il aurait pu me relever, me coucher sur son bureau en relevant ma jupe sur mon cul, et me baiser d’un coup de rein rageur, il aurait découvert mon apparente docilité !
Mais pour l’heure, ignorant tout du trouble qui m’avait moi-même envahit, je me retrouvais dans le bureau de mon client, à genoux, à ses pieds, en train de le sucer avec avidité !

mardi

Pénis : on a (enfin) trouvé la taille idéale

16 centimètres : c'est la longueur idéale. 

En effet, d'après une très sérieuse étude de l'Université de Californie (États-Unis), pour être parfait, le pénis masculin doit mesurer 16 cm de longueur en érection et afficher une fière circonférence (le « périmètre » du sexe) de 12 cm. En cette période de rentrée, il est temps de ressortir votre double-décimètre... et votre mètre de couturière !

Pour en arriver à cette conclusion, les chercheurs (qui ont publié leurs surprenants travaux dans la revue scientifique PlOs One) ont demandé à 75 femmes âgées de 18 à 75 ans de choisir le sexe idéal parmi 33 modèles créés grâce à une imprimante 3D. Verdict : le pénis de 16 cm par 12 cm a été jugé le plus « confortable » de tous.

Mais l'étude ne s'arrête pas là, puisque les données montrent également que, pour une aventure d'un soir, ces dames préféreraient un engin un peu plus imposant - de 16,25 centimètres de longueur en moyenne : un quart de centimètre qui fait toute la différence, apparemment...

Une étude qui reste quand même à prendre avec des pincettes et beaucoup de second degré. En effet, en mars 2015, une étude britannique avait (elle aussi) trouvé « la » taille parfaite pour le pénis : 13,12 centimètres. Un chiffre qui se rapproche davantage de la moyenne française - qui est, on le rappelle, de 13,5 centimètres en érection. 

Et en juillet 2015, une étude suisse avait montré que la taille du pénis n'avait aucune importance pour les femmes ! Alors inutile de complexer, messieurs on vous aime comme vous êtes...



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Un chiffre qui se rapproche davantage de la moyenne française - qui est, on le rappelle, de 13,5 centimètres en érection. !
 >>>Euh, j'ai jamais connu la moyenne manifestement même parmi mes jouets :)

Et vous messieurs ? 
Qu'en pensez-vous ? 

lundi

Regarde t-il ?



Adossée sur le canapé,  je plie les genoux pour pouvoir pianoter aisément sur  mon ordinateur portable posé sur mes cuisses.
Je sais que de là où il est, il a vu sur ma culotte.

Regarde-t-il ? Je l’ignore mais l’idée m’excite.
Elle m’excite au point de faire convulser mon périnée qui ne tarde pas à entrainer dans sa danse érotique mon clito qui se gorge de désir. Je me laisse envahir par les vagues successives .

Regarde-t-il ? Je l’ignore mais je suis excitée.
Mon souffle se raccourcit, mes seins, gagnés par la valse érotique qui se joue plus bas, se tendent. Mon esprit vagabonde, des images plus licencieuses les unes que les autres défilent.
Mon envie, animale, se réduit à l’envie d’être culbutée. Là ! Sans ménagement ! 

Regarde-t-il ? Je l’ignore mais je n’en peux plus.
Tant pis ! Je feins de l’ignorer et glisse une main entre mes cuisses…
A peine ai-je frôlé le coton que mon con s’électrise, libérant en liquoreux aveux, mon envie de stupre.
Je plisse les yeux,  me mords la lèvre inférieure pour réfréner un gémissement rauque. Mon ordinateur m’importune désormais devant mon envie grandissante d’écarter les cuisses pour me satisfaire.

 « Je peux t’aider ? » demande-t-il en surgissant du dessus de l’écran.
Je rougis, prise en faute comme une ado.  Sans attendre la réponse, ses doigts s’immiscent sous le coton pour évaluer mon état d’excitation.
Je gémis sous l’impulsion électrique et avant que je ne puisse réagir, il s’enfonce sans efforts  dans mon con suintant en me regardant céder sous le poids de l’excitation.