mardi

Comme pour mieux...

Comme pour mieux communier avec cette queue qui s’immisce en moi, se frayant un passage entre mes chairs palpitantes et gonflées, je ferme les yeux.

Je m’imagine soudain, l’œil rivé à l’entrée de mon sexe affamé, scrutant la colonne de chair qui s’impose en un va et vient vigoureux ! 

A cette image, j’inonde la bite qui palpite, bien au chaud, dans mon ventre, tandis qu’il s’agrippe rageusement à mes hanches.

Il s’est arrêté provoquant ma réprobation gémissante et mes ondulations du bassin, contrariée de ne plus me sentir entreprise comme j’aime. Si j’en connais la raison, je déteste cet instant où il s’arrête en si bon chemin !
Je voudrais qu’il me pilonne, qu’il me baise, qu’il m’outrage sans vergogne ! Je la veux pleine et entière, cette arrogante qui me pourfend au gré de ses assauts ! Sentir ses couilles comme une ultime caresse tandis que planté en moi, il me rend docile à sa loi !

Mais plus que jamais je veux que cela dure ! Je ne suis pas encore prête à me rendre, à gémir, à le supplier de jouir… tout en jouissant moi-même d’être remplie de la sorte !

Je tergiverse encore… en ondulant toujours, langoureusement,  sur sa bite, la pressant de mes chairs à chaque tentative d’évasion tandis qu’en ronronnant de plaisir, je tente d’amadouer son maître !

Elle piaffe d’impatience, nerveuse, gonflée d’orgueil et de sang… Comment lui résister ?! 
Je cède !
D’un coup de rein, je m’empale jusqu’à la garde, en râlant de plaisir, provocante.
Ses doigts s’ancrent plus profondément encore pour me retenir… en vain !

Cédant à mon caprice, il reprend les rênes, presque rageusement de s’être laissé abuser ainsi !
Plus je râle, plus il m’en met ! Plus je geins, plus il me pilonne ! J’acquiesce,  le réclamant toujours plus en « ouiiii », « encore … » comme une chatte en chaleur !

Alors soudain, je sais ! Je sens qu’il va abdiquer et se rendre, que sa queue qui palpite va me gorger de foutre. Son corps se tend, s’arc-boute et dans un dernier élan, il s’enfonce, sauvagement, ultime étreinte.

Cuisses écartées, cambrure offerte, mon ventre accuse ce dernier assaut avec délectation, tandis que je perds pied, en gémissant, dans le tourbillon du plaisir vertigineux où son râle sourd, rauque, terriblement animal m’entraîne, tout en m’électrisant !


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Oh oui, susurrez moi...