lundi
jeudi
M'abreuver à ta source
Envie de planter mon regard dans le tien maintenant.
De caler dans ma paume ta queue déjà bandée.
Picorer ta lèvre avec gourmandise tout en pressant l'objet de ma convoitise.
Piaffer d'impatience.
Ne plus tenir.
M'agenouiller.
Tout en mordant ma lèvre inférieure, libérer ta queue pour mieux la cajoler.
Je mouille mais tu l'ignores encore !
Envie de te sucer là ! Maintenant !
Sous mes doigts enjôleurs, ta bite palpite.
Je la presse doucement.
Je n'oublie pas tes bourses, tendues, bien pleines !
Je cède, tu ne m'en veux pas ?!
Mes lèvres écloses s'emparent de ton gland que ma langue curieuse s'empresse de cajoler.
Je ronronne puis...
T'engloutis, bien au fond...
Dans ma bouche !
Ma langue virevolte pour redessiner les contours de ton vit gorgé !
J'entame lentement un va et vient tandis que mes doigts s'égarent dans ta toison, sur tes cuisses, sur ton cul !
Hmmmm oui.... Baise là ma bouche ! Elle est à toi !
Ta main dans mes cheveux s'agrippe.
Tes reins désormais vont et viennent
Tu t'enfonces avec délectation.
Je te suce.
Je te tète.
Je te lèche.
Cuisses ouvertes, à tes pieds.
Agrippée à tes hanches
Je râle de gourmandise,
La bouche pleine,
Les traits déformés sous tes assauts !
Mon regard planté dans le tien,
Je guette ta reddition !
Ce délectable instant où
Cédant à la passion,
Tu te laisseras aller,
A jouir abondamment
Dans ma bouche accueillante.
Hmmmm, ta queue palpite, pleine !
Tes doigts se crispent dans mes cheveux,
Les miens pressent tes chairs.
Tu tentes bien de maitriser la montée du désir.
De ralentir un peu pour faire durer le jeu !
Mais c'est sans compter ma gourmandise !
Je te veux ! Là ! Maintenant !
Et te le fait savoir d'un coup de langue savant !
Ouiiii !
Rends toi !
Viens !
Enfonce toi !
Coup de rein ultime,
Ta bite tressaute sous mon palais.
Animale, je t'avale,
Jusqu'à la dernière goutte !
M'abreuver à ta source
Oh oui ! J'en veux encore !
De caler dans ma paume ta queue déjà bandée.
Picorer ta lèvre avec gourmandise tout en pressant l'objet de ma convoitise.
Piaffer d'impatience.
Ne plus tenir.
M'agenouiller.
Tout en mordant ma lèvre inférieure, libérer ta queue pour mieux la cajoler.
Je mouille mais tu l'ignores encore !
Envie de te sucer là ! Maintenant !
Sous mes doigts enjôleurs, ta bite palpite.
Je la presse doucement.
Je n'oublie pas tes bourses, tendues, bien pleines !
Je cède, tu ne m'en veux pas ?!
Mes lèvres écloses s'emparent de ton gland que ma langue curieuse s'empresse de cajoler.
Je ronronne puis...
T'engloutis, bien au fond...
Dans ma bouche !
Ma langue virevolte pour redessiner les contours de ton vit gorgé !
J'entame lentement un va et vient tandis que mes doigts s'égarent dans ta toison, sur tes cuisses, sur ton cul !
Hmmmm oui.... Baise là ma bouche ! Elle est à toi !
Ta main dans mes cheveux s'agrippe.
Tes reins désormais vont et viennent
Tu t'enfonces avec délectation.
Je te suce.
Je te tète.
Je te lèche.
Cuisses ouvertes, à tes pieds.
Agrippée à tes hanches
Je râle de gourmandise,
La bouche pleine,
Les traits déformés sous tes assauts !
Mon regard planté dans le tien,
Je guette ta reddition !
Ce délectable instant où
Cédant à la passion,
Tu te laisseras aller,
A jouir abondamment
Dans ma bouche accueillante.
Hmmmm, ta queue palpite, pleine !
Tes doigts se crispent dans mes cheveux,
Les miens pressent tes chairs.
Tu tentes bien de maitriser la montée du désir.
De ralentir un peu pour faire durer le jeu !
Mais c'est sans compter ma gourmandise !
Je te veux ! Là ! Maintenant !
Et te le fait savoir d'un coup de langue savant !
Ouiiii !
Rends toi !
Viens !
Enfonce toi !
Coup de rein ultime,
Ta bite tressaute sous mon palais.
Animale, je t'avale,
Jusqu'à la dernière goutte !
M'abreuver à ta source
Oh oui ! J'en veux encore !
mercredi
lundi
Donne moi ta main
Ne te fais pas prier veux-tu !
Donne moi ta main.
Laisse toi faire...
Non ! Ne bouge pas, reste dans le fauteuil !
C'est ta main qu'il me faut !
Qu'y a t-il ?
Ce n'est pas la première fois que je retrousse ma jupe devant toi !
Là ! Voilà !
Glisse la bien au chaud sous ma dentelle.
Ne fais pas le timide !
Hmmmm
Ta main est chaude comme j'aime !
Ne bouge pas, hein!?
Laisse moi faire.
Voilà ! Comme ca !
Tu ne vois pas d'inconvénient à ce que j'ondule tout contre ta paume !
Tsssss, tu ne m'écoutes pas !
Reste tranquille veux-tu !
C'est une idée où tu bandes ?
Tu bandes !
Hmmmm voilà qui me mets dans tous mes états.
Regarde... Tu sens là !
Oui ! Je suis trempée !
Et alors ?!
C'est de ta faute aussi !
Si tu te mets à bander !
Comment ca je ne manque pas d'air ?
Juste un peu, je dois bien avouer !
Il faut dire que mon orgueilleux contre ta paume a ses faiblesses !
Et puis, je ne suis pas dupe...
N'est-ce pas là tes doigts qui s'agitent ?
Non !
Ne bouge pas ! Pas encore !
Laisse moi me frotter contre toi !
Après...
Si tu es sage !
Peut-être queue...
Donne moi ta main.
Laisse toi faire...
Non ! Ne bouge pas, reste dans le fauteuil !
C'est ta main qu'il me faut !
Qu'y a t-il ?
Ce n'est pas la première fois que je retrousse ma jupe devant toi !
Là ! Voilà !
Glisse la bien au chaud sous ma dentelle.
Ne fais pas le timide !
Hmmmm
Ta main est chaude comme j'aime !
Ne bouge pas, hein!?
Laisse moi faire.
Voilà ! Comme ca !
Tu ne vois pas d'inconvénient à ce que j'ondule tout contre ta paume !
Tsssss, tu ne m'écoutes pas !
Reste tranquille veux-tu !
C'est une idée où tu bandes ?
Tu bandes !
Hmmmm voilà qui me mets dans tous mes états.
Regarde... Tu sens là !
Oui ! Je suis trempée !
Et alors ?!
C'est de ta faute aussi !
Si tu te mets à bander !
Comment ca je ne manque pas d'air ?
Juste un peu, je dois bien avouer !
Il faut dire que mon orgueilleux contre ta paume a ses faiblesses !
Et puis, je ne suis pas dupe...
N'est-ce pas là tes doigts qui s'agitent ?
Non !
Ne bouge pas ! Pas encore !
Laisse moi me frotter contre toi !
Après...
Si tu es sage !
Peut-être queue...
mercredi
Libidineuse
J'ai posé ma main sur la bosse de ton jean en plantant mon regard dans le tien.
Dans ma paume, j'ai senti ta queue tressauter, surpris par le contact sans doute.
Tu t'es laissé faire.
J'ai continué.
Bien au chaud au creux de ma paume, j'ai massé, pétri délicatement ta bite encore endormie.
Je l'ai senti s'éveiller, s'impatienter d'être à l'étroit.
Je t'ai laissé me regarder l'apprivoiser.
J'aime quand tu remplis ma main de la sorte.
Tu n'as pas idée comme cela m'excite !
Tu n'as pas idée comme mon périnée convulse, mon ventre se creuse, ma chatte se pâme devant tant de promesse.
Tu n'as pas idée comme mon imagination, impatiente, me renvoit des images de stupre aussi animales qu'indécentes.
Prise en étau entre mes reins affamés et ma cérébralité à fleur de peau, je palpe, je presse puis n'y tenant plus, je déboutonne, débraguette pour y glisser ma bouche, à peine libérée.
Mon con s'émeut, se gorge, s'enduit... quand mes lèvres redessinent les contours de ta bite tendue.
Sous ma langue, ta queue palpite.
Je lèche, je lappe, je suce, j'aspire, je tête.
Tu râles, frémis, paupières closes, une main dans mes cheveux !
Tandis que je m'active sur ta bite bien raide, mes sens pris en otage de mes envies de stupre, je t'imagine déjà glisser derrière moi. Je gémis sous la violence du flash, la bouche pleine de ton désir pour moi.
Tes doigts se crispent dans mes cheveux, contre ma nuque.
Je ralentis, malaxent tes bourses, reviens...
Je n'y tiens plus !
Je te quitte ... de la bouche mais pas des yeux.
Devant toi, je retrousse ma jupe sur mes hanches.
Je fais glisser la dentelle noire qui crisse sur la soie de mes bas.
Indécente, je glisse une main entre mes cuisses.
Je feule, les yeux plissés, de souiller mes doigts de la sorte.
Tu m'observes, queue à la main, que tu branles doucement.
Ce nouvel angle de vue m'électrise... Je n'y tiens plus !
Je me retourne, m'agenouille sur le canapé !
Une éternité semble passer... j'ose un appel.
"Vieeeennnns !"
Avant d'ajouter dans un souffle, une supplique implorante
"Baise moi !"
Dans ma paume, j'ai senti ta queue tressauter, surpris par le contact sans doute.
Tu t'es laissé faire.
J'ai continué.
Bien au chaud au creux de ma paume, j'ai massé, pétri délicatement ta bite encore endormie.
Je l'ai senti s'éveiller, s'impatienter d'être à l'étroit.
Je t'ai laissé me regarder l'apprivoiser.
J'aime quand tu remplis ma main de la sorte.
Tu n'as pas idée comme cela m'excite !
Tu n'as pas idée comme mon périnée convulse, mon ventre se creuse, ma chatte se pâme devant tant de promesse.
Tu n'as pas idée comme mon imagination, impatiente, me renvoit des images de stupre aussi animales qu'indécentes.
Prise en étau entre mes reins affamés et ma cérébralité à fleur de peau, je palpe, je presse puis n'y tenant plus, je déboutonne, débraguette pour y glisser ma bouche, à peine libérée.
Mon con s'émeut, se gorge, s'enduit... quand mes lèvres redessinent les contours de ta bite tendue.
Sous ma langue, ta queue palpite.
Je lèche, je lappe, je suce, j'aspire, je tête.
Tu râles, frémis, paupières closes, une main dans mes cheveux !
Tandis que je m'active sur ta bite bien raide, mes sens pris en otage de mes envies de stupre, je t'imagine déjà glisser derrière moi. Je gémis sous la violence du flash, la bouche pleine de ton désir pour moi.
Tes doigts se crispent dans mes cheveux, contre ma nuque.
Je ralentis, malaxent tes bourses, reviens...
Je n'y tiens plus !
Je te quitte ... de la bouche mais pas des yeux.
Devant toi, je retrousse ma jupe sur mes hanches.
Je fais glisser la dentelle noire qui crisse sur la soie de mes bas.
Indécente, je glisse une main entre mes cuisses.
Je feule, les yeux plissés, de souiller mes doigts de la sorte.
Tu m'observes, queue à la main, que tu branles doucement.
Ce nouvel angle de vue m'électrise... Je n'y tiens plus !
Je me retourne, m'agenouille sur le canapé !
Une éternité semble passer... j'ose un appel.
"Vieeeennnns !"
Avant d'ajouter dans un souffle, une supplique implorante
"Baise moi !"
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