samedi

Abyssalement

 Tu me manques.

Les secondes loin de toi sont des éternités.
Pourtant, dans l'obscurité de ma solitude imposée,
Tu apparais, tel un phare dans la brume.

Ton regard ardent,
Ta voix chaude,
Ta bouche sulfureuse,
Ta langue envoutante,
Tes mains décidées,
Ton corps tendu,
Mais par queue....
 
Ta queue...
 
Parlons-en de ta queue...
 
Obsession indescriptible,
Elle hante tour à tour,
Le creux de mes reins,
L'arrondi de ma bouche,
Le modelé de mes seins,
Le sillon de mon cul.

Envie de toi



2 commentaires:

Oh oui, susurrez moi...