D'une main ferme, il me saisit le poignet et m'entraîne vers l'immeuble où se trouve mon bureau.
Quelle étrange sensation que ce mélange d'appréhension et d'excitation... Mon
ventre gardant en mémoire la pression de sa queue quelques secondes auparavant.
"Où est-ce que tu vas ?!"
Glissant sa main sur ma taille et m'attirant à lui, il me répond un "Ne
sois donc pas si impatiente veux-tu !" d'une voix basse et rauque.
Mon
ventre se serre de nouveau tandis que mes lèvres humides et chaudes se
rappellent à mon bon souvenir.
A la pression qu'il exerce sur ma taille, je sais qu'il n'y a aucune
tergiversations possibles, pour autant, l'idée qu'il m'entraine sur mon lieu de
travail m'inquiète.
Comment cacher mon trouble si nous croisons mes collègues ? Nous entrons
dans le hall sans que je ne puisse dire quoique ce soit... Comme il y a du
monde qui entre à son tour et se dirige vers l'ascenseur, il s'arrête comme
pour discuter et se penche à mon oreille.
" Attendons que tout ce beau monde remonte travailler ... regarde pourtant
comme il m'en coûte!"
Saisissant ma main, il la plaque sur son entre cuisse d''un geste ferme et
discret. Devant mes yeux qui s'arrondissent comme ma bouche, il me regarde
d'un air perçant, souriant, esquissant un hochement de tête m'invitant au
silence et à la docilité.
Sous ma main, je sens sa queue tendue, battue par le sang qui afflue, violent.
Mon coeur s'emballe de nouveau, me coupant le souffle au passage.
Mon ventre
s'émeut... ma chatte palpite.
Ma main le presse discrètement, derrière d'autres personnes passent.
Son regard s'intensifie tandis que ses maxillaires se contractent sous mes
doigts qui s'agitent.
Sous ma paume, sa queue piaffe d'impatience.
Ma gorge se
noue, mes lèvres s'entrouvrent...
Une furieuse envie de le sucer, là,
maintenant, me taraude.
Défaire son pantalon, fébrile, et en sortir son chibre.
M'agenouiller, cuisses
écartées, ma chatte libre, et l'engloutir, gourmande.
Sentir contre mes lèvres,
sa colonne de chair m'envahir, tandis que ma langue papillonnerait sur la peau
douce et tendue.
Prendre ma revanche et l'ascendant...
A son regard, je sais qu'il a deviné ce à quoi je pense et à sa queue, je sais
qu'il a tout aussi envie que moi, de s'abandonner à ma bouche.
Bien que le hall se soit vidé, il ne bouge pas, provoquant mon impatience. Mes
doigts l'enserre davantage, ma paume se frotte sans équivoque contre la bosse
de son pantalon... mes traits trahissent mon envie immédiate sans succès. Il me
regarde intensément, les yeux brûlants, sans agir pour autant, me quittant du
regard pour regarder l'entrée comme pour s'assurer qu'il n'y a personne.
" Viiennns!"
Je n'en peux plus et l'entraine à mon tour, vers l'ascenseur !
Nous entrons,
personne !
Le bouton -2 s'allume sous la pression de mon doigt, je l'entraine
dans le parking.
En regardant la destination, il sourit en glissant sa main sous ma veste, se
saisissant d'un de mes seins qu'il libère de mon balconnet pour en presser le
téton érigé.
Fébrile, mes mains s'agitent sur son pantalon, descendent la braguette...
La
porte s'ouvre, nous séparant de peur d'être surpris.
Le parking semble désert.
Se collant à moi, il m'embrasse fougueusement le cou en remontant ma jupe d'un
geste brusque, avant de me tenir des deux mains par la taille en se pressant
sur mon cul.
"Arrêtes! on pourrait nous surprendre !"
Je tente désespérément de
pousser ses mains qui bloquent la descente de ma jupe mais il ne me
laisse pas faire.
" Il faudrait savoir ce que tu veux ma belle ! Tu m'aurais presque sucé
dans le hall tant tu es chaude comme la braise et là tu minaudes dans la
pénombre de peur qu'on te surprennes dans cette situation décidément très
indécente ! Tu ne vas tout de même pas me priver de dessert, n'est-ce pas
?!"
Furieuse contre moi même, je chavire au son de son désir immédiat même si la
crainte d'être surprise me pousse à la prudence. Pour parvenir à mes fins,
j'acquiesce docilement, négociant juste qu'il me suive au moins à l'escalier de
secours tout proche.
La porte à peine refermée, il glisse sa main entre mes cuisses pour se saisir,
conquérant, de mon clito électrisé, tandis que de l'autre, il achève ce que
j'avais commencé dans l'ascenseur. Je gémis, écartant les cuisses pour
mieux l'accueillir, en pressant ses poignets, fébrile et impatiente.
Contre mes fesses, son sexe chaud, enfin libre, s'impatiente et tandis que dans
un souffle, il me susurre à l'oreille un "Un dessert aussi chaud et
onctueux que toi, aucune carte ne le fait !", je le sens guider sa queue
entre mes lèvres pour me saillir d'un coup de rein profond, m'arrachant un cri
d'extase et de surprise mêlées !
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Oh oui, susurrez moi...