Trois jours après cette fichue opération, pourtant... alors même que je n'avais pas encore trouvé la liberté de me mouvoir, tant l'emprise de la douleur était forte, je faisais "valser" mon con de désirs inassouvis.
Quelle frustration de ne pouvoir assouvir l'immédiat désir, l'animale bestialité de céder à des envies aussi sauvages qu'indomptables.
Curieuse sensation que ces pulsions sexuelles emprisonnées par la douleur d'un corps en souffrance tout en étant nourries par l'esprit libre et sans contrainte....
Je découvre un nouveau terrain de jeu à explorer !... J'adore !
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Oh oui, susurrez moi...